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YVERDON DURANT LA PREHISTOIRE
(environ -4500 à -800)

L’attrait précoce de l’homme pour l'emplacement d’Yverdon s’explique par sa situation privilégiée à la croisée des axes naturels de communication, voies de terre ou voies d’eau. Le lac, d'intérêt vital pour les populations, a conditionné l'habitat en raison des modifications successives de ses rives. Ce contexte favorable a maintenu une présence humaine pratiquement continue depuis plus de 6000 ans.

Les menhirs

Les menhirs d’Yverdon, photo de dw/Amy

A voir

L’exposition du Musée d’Yverdon et région présente l’abondant matériel provenant des établissements préhistoriques d'Yverdon et de la région: céramiques; objets organiques conservés grâce au milieu humide; objets en cuivre et en bronze attestant l’apparition de la métallurgie dans nos régions.

Le site des menhirs se trouve à la sortie d'Yverdon, en direction Yvonand. La visite est libre: parking à disposition. On l’atteint depuis la Gare, environ 15 minutes à pied, ou en bus.

Dans la baie de Clendy, à l’est de la ville, un alignement de 45 menhirs atteste de la présence humaine la plus ancienne connue à ce jour sur le site d’Yverdon. Erigés au Néolithique vers 4500 av. J.-C., ces menhirs ont été découverts suite à la Première Correction des eaux du Jura vers 1878. Ils ont été dégagés en 1975, puis restaurés en 1986. De forme géométrique ou humaine, ils présentent une hauteur variant de 35 cm à 4,5 m. A proximité d’habitats littoraux, ce site accueillait probablement des rassemblements à vocation cultuelle.

Les villages lacustres

Longtemps appelés à tort "les lacustres", les premiers paysans qui s'installent sur les rives du lac de Neuchâtel trouvent un accès à la navigation, des terres favorables à l’agriculture et à l’élevage ainsi qu’un sol propice à l’enfoncement des pieux de leurs habitations. Des maisons sur pilotis, mises au jour à Yverdon-Clendy sur les sites de l’avenue des Sports dès 1961, mettent en évidence une occupation humaine d'env. 4000 à 800 av. J.-C.

YVERDON A L'EPOQUE CELTIQUE
(environ -500 à -50)

A la fin de l'âge du Bronze, vers 1000 av. J.-C., les villages lacustres sont définitivement abandonnés. La culture celtique se développe dans toute l’Europe continentale. D’habiles métallurgistes développant le travail du fer confectionnent des armes de qualité et de magnifiques pièces d’orfèvrerie.

L'agglomération celtique

La statue celtique en bois de chêne (vers 50 av. J.-C.) découverte à Yverdon-les-Bains en 1991
Photo de Fibbi–Aeppli photographes,Grandson
 

Des vestiges celtiques ont été retrouvés le long de l’actuelle rue des Philosophes. Une agglomération est clairement attestée à partir du 4e siècle av. J.-C. Elle fait partie du territoire des Helvètes, peuple celte occupant le plateau suisse et pratiquant l’agriculture et le commerce. Les maisons sont construites en terre et en bois, matières premières qui abondent dans la région mais qui ne laissent malheureusement que peu de traces.
Au 1er siècle av. J.-C., la ville devient un habitat fortifié, un oppidum, destiné à contrôler la région. Elle est entourée d’un rempart monumental: un mur en pierres sèches disposées entre d’imposants poteaux frontaux en bois. Vraisemblablement haut de 5 mètres, il était précédé d’une succession de trois fossés. La présence de cette muraille explique l’origine du nom celtique d’Yverdon, Eburodunum. En effet, le suffixe ­dunum signifie en langue gauloise "ville fortifiée".

A voir

Le Musée d’Yverdon et région présente de nombreux objets illustrant la vie quotidienne à l’époque celtique. Parmi les pièces les plus remarquables, la très rare statue celtique en bois découverte dans le comblement de l'un des fossés du murus. De plus, des maquettes permettent d’imaginer la porte d’entrée du rempart d’Eburodunum, ainsi que le site de Sermuz.

Le rempart de Sermuz

Vers 50 av. J.-C., un second rempart est élevé sur la colline de Gressy-Sermuz. Il s’agit d’un murus gallicus, un mur typiquement gaulois à poutraisons horizontales. Long de quelque 130 m et précédé d’un fossé, il protégeait un espace de près de 6 hectares. Construit après la Guerre des Gaules et employé durant quelques décennies seulement, il a peut-être été occupé par l’armée romaine.

YVERDON DURANT L'ANTIQUITE ROMAINE
(environ -20 à -400)

La période de l’Antiquité à Yverdon débute avec la présence romaine dont l’administration principale est localisée à Avenches (Aventicum).
En outre, d'importants vestiges ont été découverts à Orbe (villa de Boscéaz), Yvonand (villa de Mordagne) et à Ursins (sanctuaire). Yverdon, qui s’appelle Eburodunum, est un port actif depuis plusieurs siècles. Situé sur un important carrefour de communications entre le centre de la Gaule et l’Italie, il sert de relais entre les bassins du Rhône et du Rhin. Le site du futur Yverdon possède en outre un attrait apprécié des Romains: ses bains.

Le castrum

Villa romaine de Orbe-Bocéaz : Mosaïques des divinités. Médaillon de Saturne.
Photo DE Abbi-Aeppli photographes, Grandson

Les embarcations gallo-romaines

Conçu comme une forteresse, le castrum d’Yverdon a été édifié sous l’empereur Constantin vers 325. Il servait de base militaire navale et fluviale au dispositif défensif mis en place le long du Rhin par les Romains. Le castrum se trouvait alors à proximité immédiate du port.
Après l’abandon de ce site par les Romains au 5e siècle, la population civile s’est abritée derrière les hauts murs du castrum. En 1861, les ruines encore émergentes du castrum, devenues gênantes pour les cultures et l’agrandissement du cimetière, furent définitivement rasées.
Depuis 1978, la "Société de sauvegarde et restauration du Castrum", contribue à faire progresser la connaissance historique et la visibilité de cette antique forteresse.

Une barque de 10 mètres du 4e siècle et un chaland d’une vingtaine de mètres du 2e siècle de notre ère ont été mis au jour respectivement en 1984 et en 1971. Ces bateaux ont été découverts dans l’estuaire primitif de l’ancienne Thièle, à 200 mètres du château où ils sont exposés aujourd’hui. Outre leur exceptionnel état de conservation, ces objets représentent une grande valeur documentaire, notamment la barque qui constitue à ce jour l’unique témoin, pour l’époque romaine, d’un type d’assemblage de deux "demi-coques".

A voir

Le Musée d'Yverdon et région accorde une large place à l'Antiquité romaine. Les deux embarcations gallo-romaines font l'objet d'une section spéciale dans les magnifiques caves voûtées du château.

YVERDON DURANT LE MOYEN-AGE
(environ 443 à 1536)

Après le retrait des Romains au 5e siècle, les Burgondes occupent la région suivis, un siècle plus tard, par les Francs. La population yverdonnoise se concentre à l'intérieur ou à proximité immédiate du castrum. Yverdon reste une ville active mais perd progressivement de son importance au profit d'Orbe qui devient le centre régional dès 869. L’existence de l’église paroissiale Notre-Dame dans l'enceinte du castrum, mentionné pour la première fois en 1174, indique que la population s’est christianisée. Dans la première moitié du 13e siècle, la ville retrouve son rôle de capitale régionale: partir de 1260, Pierre de Savoie s'impose comme le seigneur de la région et décide de construire une ville nouvelle dont le tracé est encore visible aujourd'hui.

La nécropole du Pré de la Cure

Maquette du château d'Yverdon vers 1420
Maquette de Jean-Fred Boekholt sur indications de D. de Raemy. Photo de Fibbi-Aeppli photographes, Grandson

La nécropole était déjà connue au 19e siècle grâce notamment aux recherches archéologiques de Louis Rochat. L’installation des Burgondes dans notre région est clairement attestée à Yverdon par les découvertes réalisées dans les années 1990 dans l'importante nécropole du Pré de la Cure à proximité du cimetière actuel. Ces fouilles archéologiques ont en outre permis de mettre en évidence la parfaite continuité d'occupation du site jusqu’à l’époque médiévale, la relative prospérité de ses habitants ainsi que leur raffinement artistique, notamment en matière d’orfèvrerie.

A voir

Le Musée d’Yverdon et région consacre une section de son exposition à la vie à Eburodunum / Yverdon durant le Haut Moyen Age.

Deux maquettes mettent en évidence l'état du château respectivement aux 15e et 17e siècles. Elles constituent le point de départ de l'exposition permanente du musée consacrée à l'histoire de la forteresse.

Le château

Pierre de Savoie fait élever la forteresse à partir de 1259 à des fins défensives pour protéger la ville sur son flanc est. L'ouvrage est terminé par ses successeurs vers 1285. Ce château constitue le prototype du carré savoyard, un concept nouveau pour l'époque, avec quatre tours d'angle mettant chaque mur sous le feu croisé de deux tours. Les seigneurs savoyards y résident lors de leurs séjours à Yverdon. En janvier 1476 le château est incendié par les Bernois durant les Guerres de Bourgogne. Il est reconstruit et transformé au cours du siècle suivant.

YVERDON ENTRE 1536 et 1700

Au début de l’année 1536, Berne déclare la guerre à la Savoie et se lance à la conquête du Pays de Vaud. Yverdon se rend après trois jours de siège. Les Bernois mettent en place une nouvelle autorité et divisent le territoire vaudois en douze bailliages. Yverdon est l'un des principaux sièges et un Bailli représentant de Berne s’installe au château. Le nouveau souverain prend soin de respecter les franchises et les droits anciens afin d’obtenir le soutien des élites locales. La Réforme est imposée: Yverdon devient protestant. Une nouvelle histoire de deux cent soixante-deux ans commence, elle durera jusqu’à la Révolution de 1798.

Des peintures bernoises de très belle facture

Extrait du décor ornant le plafond de la salle du Bailli. Photo de Fibbi-Aeppli photographes, Grandson

A voir

Le Musée d'Yverdon et région présente deux salles dotées de peintures murales; une troisième expose deux maquettes du château dans ses configurations du 15e et du 17e siècles.

Au cours du 16e siècle, l’une des salles de l’aile nord du château est transformée en salle d’audience du Bailli. En 1692, un peintre orne le plafond d’un décor de très belle facture présentant en son centre les armoiries de Berne. Cette peinture, découverte lors d'une réhabilitation de la salle au début des années 1990, a été soigneusement nettoyée et consolidée.

Une économie florissante

Au 17e siècle, les revenus essentiels des Yverdonnois proviennent de la terre. Une autre activité fleurit néanmoins, celle de la batellerie en raison de la situation de la ville au centre d’un réseau naturel de communications fluviales et lacustres. C'est à cette époque qu'apparaît un premier projet de construction du canal d'Entreroches censé réaliser la fameuse jonction du Rhône au Rhin. Il ne sera construit que partiellement et exploité jusqu'en 1829. Dès 1685, d'autres industries telles que celle du drap se développent, notamment sous l'influence de quelques réfugiés huguenots.

YVERDON DE 1700 à 1800

Comme dans l’ensemble du Pays de Vaud, le 18e siècle à Yverdon correspond à une ère de paix et de prospérité. Dans sa seconde moitié, cette période est influencée par les grands courants de pensée qui animent l'Europe et la démocratisation engendrée par la Révolution. Il en résultera un important dynamisme culturel pour la ville.

Les 48 volumes de l’Encyclopédie d’Yverdon
Photo de Louise Decoppet, photographe à Yverdon-les-Bains, pour la Fondation DE FELICE

Fortuné Barthélemy de Felice ou la volonté de faire circuler les idées

En 1762, de Felice, âgé de 39 ans, crée à la rue du Lac une imprimerie et un pensionnat fréquenté par des étudiants issus d’illustres familles européennes. Il a fait de brillantes études en Italie où il a exercé comme professeur de philosophie à Rome, puis de physique à Naples. Son ambition: diffuser et mettre en relation les savoirs. Yverdon est alors une petite bourgade où peuvent s’imprimer discrètement des textes controversés et d'autres interdits dans certains pays d’Europe. Il publie l’Encyclopédie d’Yverdon, rédigée de 1770 à 1780, qui comporte 48 volumes de texte et 10 de planches. Il s’agit d’une refonte totale, présentant une vision protestante et internationale de l'Encyclopédie parisienne de Diderot et d’Alembert.

Elie Bertrand: à l'origine du dynamisme culturel d'Yverdon

Elie Bertrand, né à Orbe en 1713, a consacré une partie de sa vie à l'épanouissement intellectuel de ses concitoyens yverdonnois. Tout en menant une carrière de pasteur, il acquiert de nombreuses connaissances scientifiques et une grande notoriété en publiant plusieurs traités. Il conduit des recherches en théologie, physiologie, histoire, linguistique, etc. En 1765, E. Bertrand devient précepteur de deux des fils de la comtesse polonaise Mniszech, une proche du souverain Stanislas-Auguste Poniatowski. Ce dernier lui confie l'étude de divers projets de développement de la Pologne. De retour à Yverdon en 1768, fortune faite, E. Bertrand lance son propre salon littéraire fréquenté par l'élite yverdonnoise et des étrangers de passage. Ces activités ont une influence bénéfique sur la ville qui vit alors son âge d'or.

A voir

La Bibliothèque publique d'Yverdon possède, dans son fonds ancien, deux collections de l'Encyclopédie d'Yverdon.

Le Musée d'Yverdon et région prépare un espace consacré à Elie Bertrand considéré comme son fondateur.

YVERDON de 1800 à 1900

La fin de 18e siècle a été marquée par l’esprit de la Révolution française. Le 24 janvier 1798, les communes vaudoises ont proclamé leur indépendance à l'égard de LL.EE de Berne qui se retirent. Dès l'automne 1799, la ville d'Yverdon a commencé à démolir son enceinte fortifiée et sort rapidement de ses limites originelles. Après quatre années, la nouvelle République helvétique, qui débouche sur de violents troubles internes, est un échec.

Yverdon accueille Pestalozzi dans son château

Pestalozzi apprend à compter aux enfants. Gravure d’après Anker.

L'arrivée du chemin de fer

Grâce à l'Acte de Médiation imposé par Bonaparte au début de 1803, une nouvelle Confédération est instaurée dans laquelle le pays de Vaud est admis comme 19e canton. Une ère nouvelle commence marquée par une amorce de démocratisation. Le canton se dote d'un législatif, le Grand Conseil, et d'un exécutif, le Petit Conseil (futur Conseil d'Etat). Ses représentants sont désormais élus, mais une faible partie de la population est habilitée à voter. Toutefois, à Yverdon, une municipalité de 15 membres exerce encore seule le pouvoir. En 1804, la commune acquiert le château en prévision de l'arrivée de Pestalozzi. En janvier 1805, ce dernier installe son institut pédagogique marquant ainsi la ville de son empreinte durant 20 ans.

Dès le milieu du 19e siècle, s'amorce une première étape de l'industrialisation. La population d'Yverdon passe ainsi de 3'600 âmes en 1850 à 8'000 à la fin du siècle. La métamorphose de la ville s'accélère grâce à deux chantiers importants: la construction du chemin de fer, dont la première ligne de Suisse romande est inaugurée à Yverdon le 1er mai 1855; et la Première Correction des eaux du Jura qui bouleverse l'hydrographie du Plateau suisse.

A voir

Le Musée d'Yverdon et région consacre plusieurs salles au 19e siècle marqué par d'importantes mutations. La présence de Pestalozzi à Yverdon de 1805 à 1825 y est également évoquée.

YVERDON DE 1900 à 2000

Si le 18e siècle a permis à Yverdon de se distinguer par son rayonnement culturel, le 20e siècle lui redonne une certaine notoriété grâce aux innovations techniques de ses industries de pointe. En effet, l'industrialisation, qui a débuté dans notre région vers 1850, prend un essor important dans le premier quart du 20e siècle et connaît son apogée durant les Trente Glorieuses entre 1945 et 1975.

Le développement industriel au début du 20e siècle

Evocation publicitaire de la célèbre caméra Bolex H16 fabriquée par l’entreprise Paillard. Graphisme par l'Atelier Flavia Cocchi, Lausanne.

A voir

Le Musée d'Yverdon et région présente une salle qui illustre parfaitement l'important développement économique d'Yverdon au 20 e siècle.

Dans le sillage des deux plus grands employeurs de la place - les ateliers de construction ferroviaire, devenus propriété des CFF en 1908, et la manufacture de tabac Vautier - des entreprises de taille moyenne se développent. C'est le cas notamment de la fabrique de pâtes alimentaires Besson, de la savonnerie Péclard, de la tuilerie-briqueterie ou encore de la fabrique de Vis et Boulons VIBO. De plus, profitant du développement de nouvelles technologies telles que la radio et le cinéma, deux entreprises contribuent à étendre la notoriété d'Yverdon hors des frontières suisses: la Fabrique Leclanché dès 1907 et l'entreprise Paillard en 1920.

Mutations importantes dans le dernier quart de siècle

D'importantes mutations technologiques et économiques au niveau mondial sonnent le glas des Trente Glorieuses en Europe. Yverdon n'y échappe pas: la société Paillard amorce son déclin dès 1970 puis disparaît totalement en 1989. Cet événement est catastrophique pour la région, notamment pour l’emploi. Toutefois, la fin du 20e siècle est marquée par un renouveau progressif du tissu économique local: de nombreuses PME qui reprennent les savoir-faire de la grande entreprise disparue sont créées. Dans le même temps, la décentralisation par le canton de hautes écoles, le renouveau du centre thermal et la création d'un parc technologique transforment peu à peu l'image de la ville ouvrière.

POUR EN SAVOIR PLUS

KAENEL G., CROTTI P., Les Lacustres, 150 ans d’archéologie entre Vaud et Fribourg, Lausanne, 2004.
KAESER M.-A., Les Lacustres, Collection le Savoir suisse, Lausanne, 2004.
VORUZ J.-L., Hommes et Dieux au Néolithique, Les statues-menhirs d’Yverdon, Annuaire de la Société Suisse de Préhistoire et d’Archéologie (ASSPA) 75, 1992, p. 37-64.
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TERRIER F. ET AL., Les embarcations gallo-romaines d'Yverdon-les-Bains, Yverdon-les-Bains, 1997.

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STEINER L., MENNA F., La nécropole du Pré de la Cure à Yverdon-les-bains (IV e-VII e siècles), Cahiers d’archéologie romande (CAR) 75-76, Lausanne, 2000.
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DE FÉLICE CHR., L'Encyclopédie d'Yverdon: une encyclopédie suisse au Siècle des Lumières, Yverdon-les-Bains, 1999.
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WARIDEL F. Le premier institut pour enfants sourds-muets, Yverdon-les-Bains, 1992.
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